Hafs bin Khaalid (rahimahullah) raconte qu’un vieil homme arrivé de Mowsil lui avait dit ce qui suit
Une fois, j’ai accompagné Hazrat Zubair (radhiyallahu ‘anhu) lors d’un de ses voyages. Au cours du voyage, alors que nous étions dans un pays ouvert et aride, Hazrat Zubair (radhiyallahu ‘anhu) devait accomplir le fardh ghusl, Il m’a ainsi dit. “Cache-moi (avec un tissu pour que je puisse accomplir le ghusl).” Je l’ai ainsi caché, et tout en le cachant, j’ai aperçu les cicatrices sur le haut de son corps causées par les coups d’épée. Je lui ai alors dit : «Par Allah! J’ai vu de telles cicatrices sur ton corps que je n’avais jamais vues auparavant sur quelqu’un d’autre! Hazrat Zubair (radhiyallahu ‘anhu) m’a demandé: « Les as-tu vraiment vues? » Quand j’ai répondu que j’avais effectivement vu les cicatrices, il a répondu: « Par Allah! Sachez qu’il n’y a pas de cicatrice sur mon corps sauf que je l’ai reçue en compagnie de Rasulullah (sallallahu ‘alayhi wasallam) alors que je luttais dans le chemin d’Allah Ta’ala contre les mécréants.
(Tahzeeb ul-Kamaal 9/321)
Urwah (rahimahullah) raconte: « Hazrat Zubair (radhiyallahu ‘anhu) avait reçu trois blessures majeures sur son corps après avoir été frappé par des épées. L’une était sur son épaule, et (elle était si grosse que) j’y insérais mes doigts (le trou qui restait après la guérison de la blessure). Hazrat Zubair (radhiyallahu ‘anhu) a reçu deux blessures le jour de Badr et une le jour de Yarmouk.