Précaution dans la richesse publique

La précaution que Hazrat Umar (radhiyallahu anhu) a prise lorsqu’il s’agissait de richesses publiques était en effet proverbiale.

À une occasion, du musc et de l’ambre gris (un type de parfum) sont arrivés de Bahreïn.

Comme il s’agissait d’une richesse publique, Hazrat Umar (radhiyallahu ‘anhu) a dit : « Par Allah ! souhaite trouver une personne compétente en matière de pesée afin qu’elle puisse peser ces parfums pour moi, me permettant ainsi de les répartir équitablement entre les musulmans”

En entendant cela, sa respectée épouse, Hazrat Aatikath bint Zaid (radhiyallahu ‘anha). a proposé d’accomplir ce service en disant. “Je suis compétent en pesée. Apportez-le et je le pèserai pour vous.” Cependant, Hazrat Umar (radhiyallahu ‘anhu) a décliné son offre.

Elle lui a alors demandé la raison de son refus, ce à quoi il a répondu : “Je crains qu’en le pesant, vous puissiez prendre le parfum qui reste sur vos doigts et l’appliquer sur vous-même”, a ensuite mentionné Hazrat Umar (radhiyallahu ‘anhu), ” J’ai peur que si tu dois te frotter les doigts sur le corps après en pesant le parfum, vous recevrez plus de parfum que le reste des musulmans (et cela n’est pas permis).”

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